![]() |
Nous l'étendons (constamment) dans l'immensité." (Sourate 51, "les vents disperseurs", v. 47)
La constante expansion de l'Univers et son illustration la plus significative sont: l'éloignement graduel des galaxies et des corps célestes les uns par rapport aux autres. Pour mieux comprendre ce phénomène, comparons l'Univers avec la surface d'un ballon qui est en train d'être gonflé. Tout comme les points sur la surface d'un ballon s'éloignent les uns des autres pendant que le ballon est gonflé, les objets dans l'espace s'éloignent les uns des autres pendant que l'Univers continue à se dilater.
Chaque fois que leurs peaux auront été consumées, Nous leur donnerons d'autres peaux en échange afin qu'ils goûtent au châtiment. (Sourate 4, "La femme", V56 )
Ce verset évoque la nécessité de donner une autre peau pour pouvoir sentir la douleur après que la peau est déjà était brûlé .
Avant l'ère des découvertes scientifiques, l'on pensait que tout le corps était sensible à la douleur jusqu'à la découverte du rôle primordial des terminaisons nerveuses qui couvrent une grande partie de la peau. Le docteur Head a distingué deux types de sensibilité cutanée; d'une part, la sensibilité épicritique qui perçoit les tacts fins et les changements ordinaires de températures, et d'autre part, la sensibilité protopathique à la douleur et aux hauts degrés de chaleur. Et chacune de ses deux sensibilités fonctionne avec des types différents de neurones. De même, il y a des récepteurs spécialement sensibles aux changements environnementaux. On distingue les types ci-après de récepteurs extéroceptifs:
1. Les récepteurs extérocepteur sensibilité au toucher
·Les corpuscules de Meissner
·Les corpuscules Merkel
2. Les bulbes terminaux Krause : sensibilité au froid
3. Les cylindres de Ruffini : sensibilité au chaud
4.Terminaisons nerveuses libres : sensibilité à la douleur.
Il faut noter que la peau est très riche en terminaisons nerveuses chargées de transmettre la douleur et la chaleur.
Les anatomistes ont pu prouver que quand toute la peau est consumée, le brûlé ne ressent presque plus de douleur, et ce, à cause de la destruction des terminaisons nerveuses qui ont à charge de transmettre la douleur. Par contre, les brûlures de deuxième degré suscitent une douleur atroce vu l'irritation qu'elles causent aux terminaisons nerveuses dévoilées.
Allah exalté soit-Il démontre que c'est la peau qui sera l'objet du châtiment. Raison pour laquelle Allah a lié la peau et la perception de la douleur dans le premier verset mentionné plus haut. Dans ce verset, il est dit que chaque fois que la peau sera consumée par le feu et sera incapable d'accomplir ses fonctions, Allah le remplacera par une autre peau intacte qui est à même de remplir ses fonctions, de sorte que les terminaisons nerveuses (sensibles à la chaleur et à la douleur de la brûlure) puissent jouer leur rôle afin que le supplicié ressente le châtiment du feu de l'Enfer. La science moderne affirme à cet effet que les terminaisons nerveuses ne se trouvent en abondance que dans la peau. Il va de soi que nul n'aurait pu percer les mystères de ces phénomènes mentionnés 14 siècles jadis dans le Coran avant l'invention du microscope et l'évolution de l'anatomie. Ainsi, les miracles et les signes d'Allah apparaissent-ils au grand jour.
Ainsi, le miracle coranique apparaît-il au grand jour par le biais de cette concordance entre les évidences de la médecine moderne et les affirmations des versets coraniques.
4.Les intestins insensible à la chaleur
abreuvés d'une eau bouillante qui leur déchire les entrailles (Sourate 47, "Muhammad" V. 15)
les anatomistes affirment que l'intérieur de l'intestin grêle n'est pas doté de récepteur, tandis qu'il y en a à profusion dans la zone du mésentère, entre le péritoine et la couche externe des intestins qui est recouverte de péritoine pariétale. Dans cette zone, il y a un grand nombre de corpuscules Pacini. Le péritoine mesure 20400 cm3. Ce qui est aussi l'épaisseur de l'épiderme. Il est utile de savoir que les récepteurs et les autres unités sensorielles qui se trouvent dans les entrailles ressemblent fort bien à ceux qui sont dans la peau.
le Coran menaça les mécréants de les châtier à l'aide d'une eau bouillante qui déchirerait leurs intestins. L'on a pu percer le mystère de cette menace en découvrant que les intestins sont insensibles à la chaleur, mais quand ils sont déchirés, un liquide bouillant coule vers la zone des mésentères qui est hautement riche en récepteurs de chaleur et de douleur et en terminaisons nerveuses qui ont à charge de transmettre la perception de la chaleur et de la douleur au cerveau, ce qui amène l'homme à ressentir une douleur très atroce.
5.La direction de la rotation de la terre
Et tu verras les montagnes, que tu croyais figées, passer comme des nuages. Telle est l'oeuvre de Dieu qui a tout façonné à la perfection. Il est Parfaitement Connaisseur de ce que vous faites ! (Coran, 27 : 88)
Le verset ci-dessus insiste sur le fait que la Terre non seulement tourne autour d'elle-même mais que sa rotation a un sens. La direction du mouvement des principales masses nuageuses situées à 3.500-4.000 m d'altitude va toujours d'Ouest en Est. C'est généralement l'état du temps à l'Ouest que l'on observe pour établir les bulletins météorologiques.
La principale raison pour laquelle les masses nuageuses vont d'Ouest en Est est la direction dans laquelle la Terre effectue sa rotation. Comme nous le savons maintenant, notre Terre tourne d'Ouest en Est. Ce fait scientifique, récemment établi par la science, a été révélé par le Coran il y a 1.400 ans de cela, à une époque où l'on pensait que la Terre était plate, et qu'elle se reposait sur le dos d'un éléphant.
6.La création du soleil dans une nebuleuse
La naissance du soleil a eu lieu au sein d'une nébuleuse primitive, après effondrement d'un nuage de gaz, puis après les planètes ont aussi commencer à se former, à se moment le système solaire était encore de la fumé, et Allah nous informe de se fait dans le Coran :
Puis Il S'est établi au ciel alors que celui-ci était de la fumée et lui a dit ainsi qu'à la terre
[Coran 41:11]
7.La sphère terrestre
Il a créé les cieux et la terre en toute vérité. Il enroule la nuit sur le jour et enroule le jour sur la nuit. (Coran, 39 : 5)
Le mot arabe traduit ici par "enrouler" dans le verset ci-dessus, est youkawwir. En français cela signifie enrouler une chose autour d'une autre chose ronde. Par exemple, dans les dictionnaires en langue arabe, ce mot est utilisé pour décrire l'action d'enrouler une chose autour d'une autre, de la même manière que l'on met un turban. L'information donnée par ce verset au sujet de la nuit et du jour contient une information pertinente au sujet de la forme de la Terre. Ceci ne peut être vrai que si la Terre est ronde. Ceci signifie que le Coran, qui fut révélé au 7ème siècle, faisait déjà allusion à la rondeur de la Terre.
Et quant à la terre, après cela, il l'a étendue. (Coran, 79 : 30)
Dans le verset ci-dessus, le mot dahaa est utilisé en arabe originel. Ce verbe vient du verbe dahawsignifiant "étendre". Bien que le mot veuille dire aussi couvrir ou arranger, la signification du verbe n'est pas seulement un arrangement prosaïque, étant donné qu'il décrit un arrangement en un cercle.
Le concept de forme sphérique est aussi présent dans d'autres termes dérivés du mot dahaw. Par exemple le mot dahaw se réfère aussi à des enfants lançant un ballon dans un trou dans le sol ou des jeux qui impliquent un lancer de pierres dans des trous et des jeux avec des noix. Des mots dérivant de cette racine sont aussi utilisés pour parler d'une autruche préparant son nid, débarrassant les pierres de l'endroit où elle s'apprête à pondre ses oeufs, l'endroit où elle place les oeufs et l'oeuf lui-même.
En effet, la rondeur de la Terre rappelle celle d'un oeuf. La forme sphérique légèrement plate de la Terre est appelée géoïde. De ce point de vue, le mot dahaa contient d'importantes informations sur la forme que Dieu a donnée à la Terre. Pendant des centaines d'années, les gens ont cru que la Terre était plate et n'ont appris la vérité que grâce au développement de la technologie. Pourtant ce fait était révélé dans le Coran il y a 1.400 ans.
8.La formation de la pluie
Dans le Coran, la formation de la pluie est décrite avec précision, on compte trois étapes : tout d'abord, "la matière première" de la pluie monte vers le ciel ; puis, des nuages se forment; enfin les gouttes de pluie apparaissent.
Dieu, c'est Lui qui envoie les vents qui soulèvent des nuages, puis Il les étend dans le ciel comme Il veut ; et Il les met en morceaux. Tu vois alors la pluie sortir de leurs profondeurs. Puis, lorsqu'Il atteint avec elle qui Il veut parmi Ses serviteurs, les voilà qui se réjouissent.
(Coran, 30 : 48)
Examinons maintenant les trois étapes mentionnées dans ce verset :
Etape 1 :" Dieu, c'est Lui qui envoie les vents "
Les innombrables bulles d'air qui se forment à la surface des océans sont soulevées vers le ciel. Ces particules, riches en sel, sont alors emportées par les vents et se rejoignent dans l'atmosphère où elles flottent. On les appelle aérosols. Elles forment alors des nuages sous forme de gouttelettes infimes constitués de toute la vapeur d'eau émanant des mers, par un mécanisme appelé "piège à eau".
Etape 2 :" qui soulèvent des nuages, puis Il les étend dans le ciel comme Il veut ; et Il les met en morceaux. "
Les nuages sont donc formés à partir de la vapeur d'eau qui s'est condensée autour des cristaux de sel ou autour des particules de poussière de l'air. Comme les gouttes d'eau piégées à l'intérieur des particules sont très petites (leur diamètre est compris entre 0,01 et 0,02 mm), les nuages restent suspendus dans l'air et s'y étalent. C'est ainsi que le ciel se couvre de nuages.
Etape 3:" Tu vois alors la pluie sortir de leurs profondeurs. "
Dans cette étape, les particules d'eau qui entourent les cristaux de sel et les particules de poussière prennent petit à petit du volume. C'est ainsi que les gouttes se forment et, alors devenant plus lourdes que l'air, se détachent des nuages et commencent à tomber sur Terre sous forme de pluie.
Comme nous l'avons vu, chaque étape de la formation de la pluie est annoncée dans les versets du Coran. En outre, ces étapes sont expliquées dans l'ordre où elles ont réellement lieu. Comme pour beaucoup d'autres phénomènes naturels, c'est encore le Coran qui en fournit la description la plus exacte et le fit savoir des siècles avant sa découverte.
Pendant longtemps, la formation de la pluie constituait un grand mystère pour les hommes. Ce n'est seulement qu'après l'invention de radars météorologiques qu'il a été possible de comprendre son mécanisme.
II.Les Miracles historiques
1.Le déluge de noé
Et en effet, Nous avons envoyé Noé vers son peuple. Il demeura parmi eux mille ans moins cinquante années. Puis le déluge les emporta alors qu'ils étaient injustes. (Coran, 29 : 14)
Le Prophète Noé (psl) fut envoyé à son peuple par Dieu. Ils s'étaient éloignés des commandements de Dieu et Lui avaient attribué des associés. Le Prophète Noé (psl) les avertit qu'ils devaient adorer Dieu seul et abandonner les fausses croyances qu'ils avaient établies au sein de leur communauté. Bien que le Prophète Noé (psl) s'adressât à son peuple avec éloquence et sagesse, et les mit en garde contre le châtiment de Dieu, ils le rejetèrent et continuèrent à attribuer des associés à Dieu. Suite à cela, Dieu dit au Prophète Noé (psl) qu'Il punirait les incrédules en les noyant. Mais Il informa aussi Son Messager que par Sa miséricorde Il épargnerait les croyants, ceux qui avaient embrassé la vraie religion et n'adoraient que le Seul, l'Unique. La destruction du peuple de Noé et la manière avec laquelle les croyants furent sauvés sont décrites dans le Coran.
Ils le traitèrent d'imposteur et Nous le sauvâmes ainsi que ceux qui étaient avec lui dans l'Arche tout en faisant périr par la noyade ceux qui avaient traité Nos signes de mensonges car c'était une communauté aveuglée. (Coran, 7 : 64)
Lorsque l'heure du châtiment arriva, l'eau du sol combinée à celle provenant de pluies violentes, provoqua une gigantesque inondation. (Dieu sait mieux) Il est révélé qu'avant que le déluge ne se produise, Dieu parla au Prophète Noé (psl).
Nous lui révélâmes : "Construis l'arche sous Nos yeux et selon Notre révélation. Et quand Notre commandement viendra et que le four bouillonnera, embarque sur lui un couple de chaque espèce, ainsi que ta famille, sauf ceux d'entre eux contre qui la parole a déjà été prononcée ; et ne t'adresse pas à Moi au sujet des injustes, car ils seront fatalement noyés. (Coran, 23 : 27)
Mis à part ceux qui montèrent à bord de l'arche du Prophète Noé (psl), tous les membres de la tribu moururent noyés, y compris le fils du Prophète, qui pensait pouvoir échapper à la noyade en cherchant refuge sur une montagne.
Dieu enjoignit : "O terre, absorbe les eaux ! O, ciel, retiens la pluie !" Les eaux décrurent, l'ordre fut accompli, et l'arche s'arrêta sur le mont Jûdi et il fut dit : "Que périssent les peuples iniques !" (Coran, 11 : 44)
Lorsqu'on compare les narrations du déluge selon l'Ancien Testament, et les différentes croyances des autres peuples, nous réalisons que le Coran, révélé par Dieu, et constituant le seul livre divin inaltéré, est la plus fiable de toutes les sources. Selon l'Ancien Testament, un livre falsifié, le déluge fut universel et couvrit donc le monde entier. Cependant rien de semblable n'est exprimé dans le Coran et, bien au contraire, les versets relatifs à ce sujet rapportent que le désastre fut régional, n'affectant que le peuple de Noé (psl). Ceux qui furent détruits sont ceux qui ont rejeté le message du Prophète Noé (psl) et qui ont persisté dans leur reniement. Aucun verset coranique n'indique que le déluge fut universel. Ci-dessous les versets évoquant ce sujet :
Nous avions envoyé Nûh auprès de son peuple : "Je suis chargé de vous adresser une mise en garde sans équivoque, [vous enjoignant] de n'adorer que Dieu car je redoute pour vous le châtiment d'un jour pénible." (Coran, 11 : 25-26)
Ils le traitèrent d'imposteur et Nous le sauvâmes ainsi que ceux qui étaient avec lui dans l'Arche tout en faisant périr par la noyade ceux qui avaient traité Nos signes de mensonges car c'était une communauté aveuglée. (Coran, 7 : 64)
Nous le sauvâmes ainsi que ceux qui étaient avec lui par un effet de Notre miséricorde et exterminâmes du premier au dernier ceux qui avaient traité Nos signes d'impostures et qui n'étaient pas des croyants. (Coran, 7 : 72)
Comme nous l'avons vu, le Coran nous révèle que seul le peuple du Prophète Noé (psl) fut détruit et non le monde entier. Les déclarations rectifiées des récits corrompus des écritures juives et chrétiennes dans le Coran prouvent qu'il est dans son intégralité un livre révélé par Dieu.
Les fouilles effectuées dans la région où l'on pense que le déluge a eu lieu, montrent que le déluge n'était pas un évènement universel mais plutôt un désastre à grande échelle qui a affecté une partie de la Mésopotamie.
Quand les eaux se retirèrent à la fin du déluge, l'Arche demeura sur le "Jûdi", comme nous le précise le Coran. Le mot jûdi fait généralement référence à un site montagneux spécifique, tandis que dans la langue arabe ce terme signifie "colline" ou "promontoire". De plus, le terme jûdi se réfère peut-être à la montée des eaux jusqu'à un certain niveau et n'implique pas nécessairement l'inondation de toutes les terres. En d'autres mots, nous apprenons que toutes les plaines et les montagnes sur la Terre n'ont pas été submergées, contrairement à ce qu'affirment l'Ancien Testament et les légendes des autres peuples, mais les eaux ont simplement recouvert une région.
Preuves archéologiques du déluge
Si une catastrophe naturelle, une migration soudaine ou une guerre, par exemple, devaient aboutir à la destruction d'une civilisation, les traces de cette civilisation seront bien protégées. Les maisons dans lesquelles vivent les gens et les objets qu'ils utilisent dans leur vie quotidienne seraient très vite enfouis sous terre. Ils sont donc conservés pendant une longue période sans être touchés par l'homme. Pour les archéologues, ces objets fournissent des indices d'une valeur inestimable lorsqu'ils sont mis au jour.
De nos jours, les archéologues et les historiens les plus célèbres ont eu connaissance de la découverte d'un nombre important de preuves concernant le déluge de Noé (psl). Le déluge, que l'on pense avoir eu lieu autour de 3.000 ans av. JC, détruisit une civilisation entière et permit à une autre d'émerger en lieu et place. La preuve du déluge a été préservée pendant des milliers d'années et constituait un effet dissuasif sur les peuples qui ont vécu après le châtiment qui avait frappé les malfaisants.
De nombreuses fouilles ont été entreprises pour étudier le déluge, lequel a été localisé dans les plaines de Mésopotamie et ses environs. Les fouilles effectuées dans la région ont permis de retrouver les traces d'un déluge dans quatre villes principales de la Plaine de Mésopotamie : Ur, Erech, Kish et Shuruppak. Elles montrent que ces villes ont été frappées par une inondation 3.000 ans av. JC.
Les restes les plus anciens de la civilisation d'Ur - ville connue aujourd'hui sous le nom de Tell al-Muqayyar - datent de 7.000 ans av. JC. La cité d'Ur, l'une des plus antiques civilisations humaines, était une région d'habitation dans laquelle des civilisations successives ont vécu et sont mortes.
Les découvertes archéologiques consécutives à l'étude de la ville d'Ur ont déterré des informations qui nous apprennent clairement qu'une civilisation a été interrompue par une terrible inondation et que de nouvelles civilisations ont émergé à sa place. Leonard Woolley mena des recherches conjointes avec le British Museum et l'Université de Pennsylvanie dans la zone désertique qui se situe entre Bagdad et le Golfe Persique. Les fouilles de Woolley sont décrites ainsi par l'archéologue allemand Werner Keller :
"Les tombes des rois d'Ur", c'est ainsi que Woolley, grisé par sa joie de les avoir découvertes, avait surnommé les tombes de nobles Sumériens dont l'authentique splendeur avait été exposée au grand jour lorsque les pioches des archéologues avaient attaqué un tumulus à 15 m au sud du temple, permettant de mettre à jour une longue rangée de tombes surmontées de pierres. Ces caveaux de pierre renfermaient de véritables trésors, car ils étaient remplis de gobelets coûteux, de cruches et de vases magnifiquement façonnés, de vaisselle de bronze, de mosaïques de perles, de lapis-lazuli et d'argent entourant ces corps moisis dans la poussière. Des harpes et des lyres reposaient adossés aux murs.
C'est alors qu'après plusieurs jours de travail les ouvriers de Woolley appelèrent ce dernier : "Nous avons découvert une nouvelle couche." Il se rendit au fond du puits pour en avoir le coeur net. Sa première pensée fut : "Nous y sommes enfin." Il s'agissait de sable, de sable pur d'un genre qui ne pouvait avoir été déposé que par de l'eau.
Ils décidèrent de continuer à creuser le puits encore plus profondément. Les pelles et les pioches retournèrent de nouveau le sol : un mètre, deux mètres, et toujours la même couche de vase pure. Soudain, à trois mètres de profondeur, la couche de vase cessa aussi brutalement qu'elle avait commencé : de nouvelles traces d'un habitat humain venaient d'être mises en évidence.
Le déluge était la seule explication possible de ce grand dépôt d'argile découvert sous cette colline à Ur, qui séparait clairement deux époques de civilisation humaine...231
Les analyses microscopiques ont révélé que ce grand dépôt de boue argileuse sous la colline d'Ur s'est accumulé à la suite d'une submersion si forte que toute l'ancienne civilisation sumérienne a dû être anéantie. L'épopée de Gilgamesh et l'histoire de Noé se trouvaient ainsi réunies dans ce puits creusé profondément sous le désert mésopotamien.
Max Mallowan a rapporté les pensées de Leonard Woolley, qui a dit qu'une aussi énorme masse d'alluvions formée en une seule fois ne peut être le résultat que d'une gigantesque inondation. Woolley a également décrit la couche séparant la cité sumérienne d'Ur de la cité d'Al-Ubaid, dont les habitants utilisaient de la poterie peinte, comme étant un vestige de déluge.232
![]() | Des fouilles menées dans les plaines de Mésopotamie ont révélé la présence d'une couche de boue argileuse épaisse de 2,5 m. Selon toute probabilité, cette couche provient des alluvions charriées par les eaux du déluge, et elle n'existe que dans la Plaine Mésopotamienne. |
Ces recherches ont ainsi permis de montrer que la cité d'Ur s'est trouvée au coeur du déluge. Werner Keller a exprimé l'importance des excavations susmentionnées en disant que la mise à jour des restes d'une cité sous une couche de boue prouve qu'une inondation dévastatrice a eu lieu à cet endroit.233
Une autre cité mésopotamienne porteuse des traces du déluge est "Kish des Sumériens", qui correspond à la ville actuelle de Tell el-Uhaimir. Selon d'anciennes sources sumériennes, cette cité a été le "berceau de la première dynastie post-diluvienne".234
La cité de Shuruppak, au sud de la Mésopotamie, qui correspond à la ville actuelle de Tell Fara, recèle aussi des traces apparentes d'un déluge. Les études archéologiques dans cette cité ont été menées par Erich Schmidt, de l'Université de Pennsylvanie, entre 1920 et 1930. Des fouilles ont permis d'y mettre à jour trois couches porteuses de restes d'habitations appartenant à une période comprise entre la lointaine préhistoire et la troisième dynastie d'Ur (2112-2004 av. JC). Les découvertes les plus significatives ont été les ruines de maisons bien construites ainsi que des tablettes portant des caractères cunéiformes et à caractère administratif, indiquant qu'une société hautement développée existait déjà là vers la fin du 4ème millénaire av. JC.235
Ce qui est important, c'est que le désastre du déluge semble s'être produit dans cette cité vers 3000-2900 av. JC. D'après ce qui a été rapporté par Mallowan, Schmidt a atteint, à 4-5 m sous la terre une couche jaunâtre (formée par le déluge) composée d'un mélange de sable et d'argile. Schmidt a défini cette couche argilo-sableuse, qui séparait la période de Djemdet Nasr de l'époque de l'Ancien Royaume, comme étant "d'origine fluviale", et devant être associée au déluge de Noé.236
En résumé, les fouilles effectuées dans la cité de Shuruppak ont encore une fois permis de découvrir les indices d'un déluge qui remonte à 3000-2900 ans av. JC. Tout comme les autres cités, Shuruppak fut probablement frappée par un déluge.237
Le dernier endroit qui semble avoir été affecté par le déluge est la cité d'Erech, au sud de Shuruppak, connue aujourd'hui sous le nom de Warka. Une couche de boue y a été mise en évidence, à l'instar des autres cités, dont l'ancienneté est semblable aux autres couches du même type découvertes ailleurs, c'est-à-dire environ 3000 ans av. JC.238
Il est un fait bien connu que le Tigre et l'Euphrate traversent la Mésopotamie d'un bout à l'autre. Il semble que, durant les événements diluviens, ces fleuves ainsi que de nombreux points d'eau et rivières débordèrent et que, ces eaux s'ajoutant aux eaux de pluie, engendrèrent un gigantesque déluge. Ce phénomène est rapporté en ces termes par le Coran :
Nous ouvrîmes alors les portes du ciel à une pluie torrentielle, et fîmes jaillir de la terre des sources. Les eaux se rencontrèrent d'après un ordre qui était déjà décrété dans une chose [faite]. Et Nous le portâmes sur un objet [fait] de planches et de clous [l'Arche]. (Coran, 54 : 11-13)
Cela revient à dire que toutes les plaines mésopotamiennes ont été touchées. Lorsque nous citons les cités de Ur, Erech, Shuruppak et Kish dans cet ordre-là, nous nous apercevons qu'elles sont situées le long d'une même route. Par conséquent, les environs de ces villes ont dû être également inondés. Il faut par ailleurs noter que vers 3000 av. JC, la structure géographique de la Mésopotamie différait de celle d'aujourd'hui ; à cette époque-là, le lit de l'Euphrate passait plus à l'est que de nos jours, et cet ancien cours passait à proximité des quatre cités susmentionnées. Avec l'ouverture des "sources de la terre et du ciel", il semble que le fleuve Euphrate soit sorti de son lit et ait pu détruire ces villes. (Dieu sait mieux)
Dieu a communiqué aux humains des informations concernant le déluge de Noé par l'intermédiaire de Ses messagers et livres, suscités auprès de diverses communautés à titre d'exemple et d'avertissement. Cependant, à chaque fois que les textes divins ont été altérés, les descriptions du déluge se sont trouvées entremêlées d'apports mythologiques. Seul le Coran résiste à l'épreuve des faits empiriquement observables. Et ce parce que Dieu est le Gardien de ce livre, le préservant de toute corruption et ne permettant pas que même le plus petit changement y soit apporté. Le Coran est ainsi placé sous la protection spéciale de Dieu. (Voir Les nations disparues, 2ème éd., Harun Yahya, Editions Essalam, Paris, 2003)
2.L'exode de Moïse
Les rois d'Egypte connus sous le nom de "Pharaons" (ou Fir'awn en arabe du Coran) se considéraient comme des divinités dans la religion polythéiste et superstitieuse de l'ancienne Egypte. A une époque où le peuple d'Egypte favorisait un système de croyance superstitieuse plutôt qu'un système de croyance divin - période durant laquelle les enfants d'Israël avaient été réduits à l'esclavage - Dieu envoya le Prophète Moïse (psl) comme messager aux tribus d'Egypte.
Cependant, Pharaon et sa cour, et le peuple d'Egypte en général, refusèrent presque tous de répondre à l'appel de Moïse (psl) les exhortant à abandonner leurs croyances idolâtres, et à adhérer à la religion divine et à l'unicité de Dieu. Le Prophète Moïse (psl) somma Pharaon et ses notables de se détourner des faux cultes, et les mit en garde contre la colère de Dieu. En réponse à cela, ils s'insurgèrent contre le Prophète Moïse (psl) et le calomnièrent. Ils l'accusèrent d'être un fou, un sorcier, et un menteur. Pharaon et son peuple refusèrent de se soumettre au Prophète Moïse (psl) malgré le nombre de calamités qui s'abattirent sur eux. Ils refusèrent d'accepter Dieu comme seule déité. Ils tinrent même le Prophète Moïse (psl) pour responsable des maux subis et cherchèrent à l'exiler d'Egypte. Dans le Coran, Dieu fait référence au Prophète Moïse (psl) et à ceux qui crurent avec lui en ces termes :
Et Nous révélâmes à Moïse [ceci] : "Pars de nuit avec Mes serviteurs, car vous serez poursuivis." Puis Pharaon envoya des rassembleurs [dire] dans les villes : "Ce sont en fait, une bande peu nombreuse, mais ils nous irritent, tandis que nous sommes tous vigilants." Ainsi, Nous les fîmes donc sortir, des jardins, des sources, des trésors et d'un lieu de séjour agréable. Il en fut ainsi ! Et Nous les donnâmes en héritage aux Enfants d'Israël. Au lever du Soleil, ils les poursuivirent. (Coran, 26 : 52-60)
Comme le révèle le Coran, les deux communautés se rencontrèrent au bord de la mer, à l'issue de cette poursuite. Dieu fendit alors la mer en deux et sauva le Prophète Moïse (psl) et les croyants qui l'accompagnaient, détruisant Pharaon et son peuple. Cette aide venant de Dieu est décrite ainsi :
Alors Nous révélâmes à Moïse : "Frappe la mer de ton bâton." Elle se fendit alors, et chaque versant fut comme une énorme montagne. Nous fîmes approcher les autres [Pharaon et son peuple]. Et Nous sauvâmes Moïse et tous ceux qui étaient avec lui ; ensuite Nous noyâmes les autres. (Coran, 26 : 63-68)
En relation avec ce sujet, le fait suivant a été récemment découvert dans des papyrus datant de l'époque de Pharaon :
D'Amenamoni, Chef des livres de protection de la chambre blanche du palais, au scribe Penterhor :
Lorsque vous recevrez cette lettre et que vous l'aurez lue point par point, laissez votre coeur s'abandonner à la peine, la douleur la plus aiguë, telle une feuille avant un orage, lorsque vous apprendrez le triste désastre de la noyade dans le grand tourbillon…
La calamité le frappa soudainement et inévitablement. Décrire la destruction des seigneurs, le seigneur des tribus, le roi de l'est et de l'ouest. Le sommeil dans les eaux a fait de quelque chose de grand, quelque chose d'impuissant. A quelles nouvelles peut-on comparer les nouvelles que je viens de vous envoyer ?216
Le fait que des évènements du passé révélés dans le Coran soient prouvés aujourd'hui est sans aucun doute un important miracle du Coran. (Voir Les nations disparues, 2ème éd., Harun Yahya, Editions Essalam, Paris, 2003)
Ce miracle, vécu par le Prophète Moïse (psl) et les Enfants d'Israël lorsqu'ils traversèrent la Mer Rouge a été le sujet de nombreuses études. Les enquêtes archéologiques ont établi non seulement le parcours suivi vers la Mer Rouge après qu'ils ont quitté l'Egypte, mais aussi l'endroit entouré de montagnes où Pharaon, le Prophète Moïse (psl) et sa tribu se rencontrèrent. (Dieu sait mieux)
Suivant de nombreuses études et investigations prenant cela comme point de départ, les scientifiques en sont venus à des conclusions frappantes concernant la façon dont la mer fut divisée en deux. Ces conclusions sont en total accord avec ce qui a été révélé dans le Coran. La façon dont ces évènements historiques décrits dans le Coran sont aujourd'hui illuminés par des mémoires historiques est sans aucun doute un miracle important du livre de l'Islam.
![]() | La montagne connue sous le nom de jabal-Moussa est considérée comme faisant partie de la Presqu'ile du Sinaï. Cependant des découvertes récentes ont montré qu'en réalité, elle se situe sur la rive arabe de la Mer Rouge. |
![]() | A la Suite d'un long et pénible voyage pour le Prophéte Moïse et les Israélites, un passage entre les montagnes pouvait être aperçu. |
![]() | La partie de la presqu'ile du Sinaï s'ouvrant sur le Golfe |
Naum Volzinger et Alexei Androsov, deux mathématiciens russes, ont prouvé que le Prophète Moïse (psl) avait effectivement pu séparer la mer. Contrairement aux scientifiques qui se concentrèrent sur la probabilité d'un tel miracle, les mathématiciens russes ont enquêté sur les conditions qui auraient pu conduire à ce miracle. En retour, cela a confirmé le miracle lui-même.
![]() Le char royal de Pharaon est en exposition dans un musée égyptien. Un modéle similaire a été trouvé lors des fouilles effectuées à l'endroit oùla mers'est fendue. |
On ne doit pas oublier qu'il y a toujours la possibilité qu'un phénomène naturel ait lieu. Si c'est la volonté de Dieu, ce miracle peut se réaliser encore lorsque les conditions requises - telles que la vitesse du vent, le temps et le lieu - sont réunies. Cependant, l'aspect véritablement miraculeux ici est le fait que ces évènements aient eu lieu juste au moment où le Prophète Moïse (psl) et sa tribu étaient sur le point d'être vaincus. Le fait que les eaux se soient retirées au moment précis où le Prophète Moïse (psl) et sa communauté étaient sur le point de traverser cette mer - sans parler du fait que les eaux se remirent en place lorsque Pharaon et son armée étaient en train de traverser la mer à leur tour - est un exemple clair de l'aide que Dieu apporte aux fidèles. En effet, la manière dont le Prophète Moïse (psl) compta sur Dieu et Lui fit confiance est un exemple des valeurs morales les plus louables.
![]() |
Au début des années 1990, furent publiés dans plusieurs journaux connus, des articles annonçant "la découverte de la cité arabe disparue", "la découverte de la cité arabe légendaire", "l'Atlantis des sables, Ubar". Ce qui rendit cette découverte encore plus curieuse est que cette cité est mentionnée également dans le Coran. Nombreux furent ceux, qui auparavant pensaient que le peuple de 'Ad évoqué dans le Coran était purement mythique et que leur cité ne serait jamais trouvée. Dès lors, ils ne purent dissimuler leur étonnement face à cette fabuleuse découverte.
Ce fut Nicolas Clapp, un éminent réalisateur de documentaires et un maître-assistant en archéologie, qui mit au jour la ville de légende évoquée dans le Coran.239Arabophone et réalisateur de films documentaires à succès, Clapp est tombé, lors de ses recherches sur l'histoire arabe, sur un ouvrage très intéressant. Ce livre, intitulé Arabia Felix, avait été écrit par le chercheur britannique Bertram Thomas en 1932. Arabia Felix, qui signifie "l'Arabie heureuse", était l'appellation romaine pour le sud de la Péninsule Arabique, qui inclut aujourd'hui le Yémen et une grande partie du Sultanat d'Oman. Les Grecs appelaient cette région Eudaimon Arabia (L'Arabie bénie), et les érudits arabes médiévaux Al-Yaman as-Saida (L'heureux Yémen)240 parce que les gens qui y vivaient autrefois servaient d'intermédiaires privilégiés dans le commerce très lucratif des épices entre l'Inde et le Nord de la Péninsule Arabique. De plus, les habitants de cette région produisaient et revendaient de l'encens, une résine aromatique issue d'arbres rares.
Le chercheur britannique Thomas a longuement parlé de ces tribus et a même déclaré avoir trouvé les traces d'une ancienne cité fondée par l'une d'elles.241 Il s'agissait de la cité connue des Bédouins sous le nom de "Ubar". Lors de l'un de ses voyages dans la région, les Bédouins du désert lui avaient montré d'anciennes pistes et avaient déclaré que ces pistes menaient vers la vieille cité d'Ubar. Thomas, qui était passionné par ce sujet, mourut avant d'avoir pu compléter ses investigations.
Clapp se plongea dans les écrits de Thomas et crut en l'existence de la cité perdue évoquée dans l'ouvrage. Sans perdre de temps, il commença ses propres recherches, en essayant de poursuivre le travail entamé par Thomas. Clapp utilisa deux approches différentes pour prouver l'existence d'Ubar. Premièrement, il retrouva les pistes mentionnées par les Bédouins. Il s'adressa ensuite à la NASA afin d'obtenir les photos satellites de la région. Après beaucoup d'efforts, il parvint à convaincre les autorités locales de prendre des clichés de la zone tant souhaitée.242
Clapp étudia après cela les anciens manuscrits et cartes de la bibliothèque Huntington en Californie. Son objectif était de trouver une carte de la région visée. Une courte recherche lui permit d'en découvrir une : il s'agissait d'une carte dessinée par le géographe égypto-grec Ptolémée au 2ème siècle (de l'ère chrétienne). Cette carte révélait l'emplacement d'une ancienne cité trouvée dans la région ainsi que les pistes qui y menaient.
Entre-temps, sa recherche fit un bond en avant lorsqu'il reçut la nouvelle que la NASA avait procédé aux prises de photos souhaitées. Ces photos montraient l'existence de pistes caravanières difficilement décelables à l'oeil nu depuis le sol, mais clairement identifiables depuis le ciel. En comparant les clichés avec la carte de Ptolémée, Clapp parvint très vite à la conclusion suivante : les pistes des deux documents coïncidaient, et elles aboutissaient sur un vaste site ayant toute l'apparence de l'emplacement d'une cité.
Finalement, grâce au travail de Clapp et à celui de Thomas avant lui, ainsi qu'à l'aide fournie par les chercheurs de la NASA, l'emplacement de cette cité légendaire, qui avait fait l'objet de récits oraux par les Bédouins, fut découvert. Peu de temps après, commencèrent les fouilles et des vestiges enfouis sous les sables furent mis au jour. C'est pourquoi cette cité perdue fut surnommée "l'Atlantis des sables, Ubar".
![]() La photo satellite ci-dessus montre la région d'Oman dans le sud de la Péninsule Arabique. Sur les photos de la cité d'Ubar, prises depuis l'espace par la NASA en 1992, on découvrit les traces d'anciennes pistes caravanières. Le peuple de 'Ad, dont le Coran nous révéla l'existence il y a 1.400 ans de cela, apparaît comme l'un des miracles du Coran découvert grâce à la technologie moderne. |
Cependant, quels éléments permettaient de démontrer que cette ancienne cité était bien celle où avait vécu le peuple de 'Ad évoqué dans le Coran ?
Dès le début de cette recherche, on comprit que les restes de cette cité appartenaient au peuple de 'Ad. La concordance devint incontestable à partir du moment où, parmi les restes découverts, on mit au jour les vestiges de colonnes et tours d'Iram mentionnées de façon précise dans le Coran. L'un des responsables des fouilles, le Dr Juris Zarins, déclara qu'étant donné que les tours sont l'un des signes distinctifs d'Ubar et qu'Iram est mentionnée comme abritant des tours et des piliers, ces indices si particuliers suffisent à prouver que le site déterré n'est autre que celui d'Iram, la cité des 'Ad décrite dans le Coran.
N'as-tu pas médité la façon dont ton Seigneur a traité Ad, [la tribu d'] Iram aux colonnes en hauteur, [qui était] telle que jamais il n'en fut créé de semblable dans le pays. (Coran, 89 : 6-8)
Nous avons donc vu que les informations fournies par le Coran à propos des évènements du passé concordent parfaitement avec les informations de sources historiques, ce qui est une autre preuve que le Coran est bien la parole de Dieu. (Voir Les nations disparues, 2ème éd., Harun Yahya, Editions Essalam, Paris, 2003)
Le total des 19 premiers chiffres est un multiple de 19.
Le total des 19 premiers nombres est un multiple de 19.
La 96ème sourate, la première à avoir été révélée, est la 19ème à partir de la fin. Elle consiste en 19 versets et contient un total de 285 lettres (19 x 15). Les cinq premiers versets de la révélation contiennent 76 lettres (19 x 4).